Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs …

Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

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samedi 27 novembre 2010

CE QUE JE SAIS DE VERA CANDIDA DE VERONIQUE OVALDE


"...LES PHOTOS D'IDENTITE PERDUE ONT PEUT ÊTRE TOUTES LE POUVOIR DE NOUS RENDRE MELANCOLIQUES ".

... et le travail de Christian Boltanski....

jeudi 25 novembre 2010

LES DEDICACES DE FRANCK DUVAL

Lors de la soirée vernissage à la Galerie du Cardo FRANCK DUVAL a utilisé " L’Art Scotch " ( technique de collage au ruban adhésif transparent qu'il a inventée) pour faire aux visiteurs une dédicace originale et unique .



VOICI MA DEDICACE !
Je l'aime beaucoup !












mercredi 24 novembre 2010

MON BLOG A TROIS ANS AUJOURD'HUI !



MON BLOG A TROIS ANS AUJOURD'HUI !

Voici mes très grands coups de cœur de cette année, des choses trouvées de ci de là, des choses vues "pour de bon", des choses trouvées sur internet , des petits et des grands bonheurs !

* Tout d'abord le lien vers MES LIEUX D'ART BRUT ET MES ENDROITS INSOLITES ( ceux qui m'aiment savent que je suis en passe de devenir monomaniaque !) :

ICI 

Et ...
* MARIE MOREL FOREVER ....





* Cette photo tant aimée comme un cadeau de mon amie MARIE-CHRISTINE BOURVEN




ICI


* LES PHRASES GLANÉES CHEZ LE POÈTE FERRAILLEUR



* LES PHOTOS ET LES TOILES DE VINCENT CORDEBARD


ICI


* LES VITRINES , LES DESSINS ET LES PHOTOS DE MON APOLLINE


ICI


* LE JARDIN D’HÉLÈNE parce que c'est la meilleure en tout, toujours ... et ma petite soeur préférée



ICI



*FERO LIPTAK et ce tableau fait pour moi ...



ICI


* UNE DES DERNIÈRES CRÉATIONS DE GODJO







* CAROLINE WEHBE
découverte à la Galerie Art'Ys dans les rues de Quimper pendant les vacances de la Toussaint
" Caroline a passé les deux dernières années aux Beaux Arts de Beyrouth où elle a utilisé sans modération l'atelier de gravure.De cette assiduité est née une histoire. Ce sont les illustrations de cette histoire qu'elle expose aujourd'hui chez nous.Venez découvrir ses motifs, ses couleurs, c'est un plaisir!





* PASCALE
et ses créations raffinées


ICI


* VÉRONIQUE pour ses photos quotidiennes et son amitié


ICI


....et d'autres découvertes !





* LES MURES BORÉALES ( appelées aussi framboises arctiques) découvertes en Suède (parce que je suis gourmande et que le nom est si bon !)



* LES ANNIVERSAIRES DES GRIGRIS : ICI

mardi 23 novembre 2010

LOUISE BOURGEOIS A BILBAO

Je n'ai pas vu au Centre Pompidou la rétrospective LOUISE BOURGEOIS en 2008 , l'Araignée de Bilbao fut donc ma première incursion dans le monde de cette étonnante artiste .


Et ce texte de Jemima Montagu :
" L'araignée géante de Louise Bourgeois tisse ensemble des fils de mémoire, de l'histoire personnelle, du mythe et de l'imagination.
Louise Bourgeois avait fait des sculptures d'araignées géantes depuis 1990.
Les araignées, comme créatures surveillant sans cesse leur toile, sont un symbole important dans le travail de Louis Bourgeois. Ses parents étaient des revendeurs en tapisseries d'histoire, et la présence de matériaux tissés et brodés étaient banale pendant son éducation. Les tissus et les restes piqués de vieux tissu ont, plus tard, figuré dans plusieurs de ses travaux, suggérant aussi bien la nostalgique que les souvenirs effrayants de l'enfance.
Pour Louise Bourgeois, les matériaux brodés sont également associés à la mythologie. Dans le mythe classique, le tissage est souvent des moyens de histoire-dire, en particulier pour des femmes. L'histoire de l'arachné est au sujet d'une jeune femme qui défie la déesse Athéna à une concurrence de tissage. Quand l'arachné gagne, Athéna déchire la tapisserie et transforme l'arachné en araignée, condamnée à la rotation pour toujours.
Louise Bourgeois a ainsi associée l'araignée avec sa mère d'où le titre maman. Elle a écrit : 'ma meilleure amie était ma mère et elle était intelligente, patiente, apaisante, raisonnable, subtile, indispensable, ordonnée et utile comme l'araignée.' Mais elle ajoute également que 'l'araignée est souvent trop fastidieuse, excessivement raisonnable ; elle ne se fatigue jamais.' Lla protection offerte par les nombreuses jambes de la maman araignée peut ainsi se révéler parfois menaçante."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Bourgeois

lundi 22 novembre 2010

MEMOIRE DE PIERRE SHASMOUKINE


 
 
 
 
Il nous faudrait le jour,
la mémoire de nos nuits.
Il nous faudrait le jour,
essayer de vaincre les pensées
qui réveillent la nuit.
Mais le jour est plein de coups de marteau,
bruyants et aveugles
qui débordent nos autres mondes.
Ainsi,
l’ensemble de notre vie
cache-t-elle les autres réalités,
comme le souvenir du jour,
reste notre unique réalité.
Il nous laisse,
pour décrire nos nuits,
que le mutisme des feuilles
qui bruissent vaguement sous la lune,
quand elle est là,
quand on la voit...


© Pierre Shasmoukine1985


dimanche 21 novembre 2010

UNE BROCHE POUR OLIVIER !

UNE BROCHE POUR OLIVIER ...





...Et un lien vers son blog et le livre qu'il vient de publier...


" Sous le titre " LES DÉLÉTÈRES " sont regroupés dix textes, plus ou moins longs. Dix portraits camouflés en moments de vie de dix personnages plus ou moins monstrueux. Des monstres ordinaires. Le genre de monstres qui se cassent la tête eux-mêmes, qui coupent les cheveux en quatre, qui se compliquent la vie pour un rien. Le genre de monstres qui nous ressemblent un peu mais pas tant que ça quand même. Dix nouvelles qui font réfléchir, qui détendent, qui font rire jaune ou rire tout court. Dix histoires simples. Dix histoires qui décryptent des travers de notre petit monde moderne, tout bêtement."







http://enpleindanslolvig.blogspot.com/

samedi 20 novembre 2010

DEUX VISIONS DE L'APOCALYPSE : ALBRECHT DURER ET FREDERIC VOISIN A L'HOTEL LE VERGEUR DE REIMS

" L'exposition présentée au musée le Vergeur est conçue comme une découverte du texte de l'Apocalypse à travers deux regards distants de 500 ans."


" Contrairement à la définition usuelle, l’Apocalypse n’est pas la fin du monde mais plutôt une période de révélation entre la fin d’un monde et le début d’un nouveau. C’est précisément cette dualité que l’exposition met en lumière en présentant deux artistes et deux visions d’un même texte, celui de Saint-Jean, écrit en 90 après J.C et dernier livre de la Bible.
ALBRECHT DURER réalise 16 gravures de bois illustrant le texte biblique en 1511. Par la générosité d’une riche famille rémoise, le Musée-Hôtel Le Vergeur dispose du premier tirage de cette édition. Une oeuvre qui vient d’être restaurée. DURER est un artiste majeur de son époque, contemporain de Léonard de Vinci et de Michel-Ange. L’imprimerie vient de faire son apparition et la gravure, en plein essor, est aussi célèbre que la peinture. Pour autant, la période est difficile : quand ce ne sont pas les guerres de religion qui font rage, c’est la peste noire qui décime les populations. La réforme combat l’obscurantisme moyen-âgeux. C’est la fin d’un monde. Bientôt, un autre émergera. Une forme d’apocalypse. Pas très loin de penser que nous vivons la même « expérience », FREDERIC VOISIN revisite chacun des thèmes abordés par DURER, en le confrontant aux réalités de notre siècle.Un siècle dans lequel FREDERIC VOISIN s’est résolument inscrit. Illustrateur dans la presse quotidienne, à Libé notamment, dans la presse magazine, dans la publicité, il nous dit avoir découvert la peinture avec le « mac ». Au début des années 90, il est à Londres où il travaille pour la presse « rockn’Roll » et commet des pochettes de vinyles veillissants et de CD’S naissants ( déjà une apocalypse !). Il a, avoue-t-il, et ceci explique cela, un intérêt marqué pour les religions et, singulièrement, pour la période de la Renaissance. C’est précisément ce qui l’amènera à ce projet d’illustration contemporaine du texte de Patmos.« On connaît le monde finissant, on ne connaît pas le monde qui viendra, on a peur de l’inconnu... » Les planches présentées sont, naturellement plus modernes, mais elles procèdent d’une même allégorie, celle de la confrontation du bien et du mal, de Dieu et du Diable et au final de l’apparition d’une « nouvelle Jérusalem ». Quand DURER illustrait ce combat par la chevauchée des chevaliers- la balance vide, signe de famines, la faux signe de mort – FREDERIC VOISIN inscrit les signes monétaires, symboles d’une puissance monétaire chancelante, les morts par milliers des holocaustes, sans oublier le 11 septembre ( plus rien ne sera plus comme avant), la pollution… » L’exposition n’est surtout pas une comparaison« , nous dit FREDERIC VOISIN , " le texte de Jean est la base pour décrypter, pour comprendre les deux interprétations" . "




L’exposition se déroule au Musée Hôtel Le Vergeur jusqu’au 23 décembre 2010.

jeudi 18 novembre 2010

FRANCK DUVAL A REIMS

APRÈS NEW -YORK , BERLIN, BARCELONE, MADRID ....nous avons eu la chance d'avoir vendredi aprés-midi FRANCK DUVAL dans les rues de REIMS .





" Franck Duval est né le 2 février 1963 à Paris, où il vit toujours actuellement. Il commence à peindre et dessiner en 1984, après une année d’études dans une école de dessin de mode (studio Berçot). Pour le reste, il apprend en autodidacte. Il teste plusieurs techniques, plusieurs supports jusqu’en 1997, année durant laquelle il se met à coller toutes sortes d’images… accumulées depuis des années. En 2000, il découvre par hasard une technique de collage au ruban adhésif transparent : « L’Art Scotch » : le ruban adhésif transparent et la réutilisation de toutes les matières papier qu’il recycle à sa façon. Il prend un réel plaisir à détourner, déstructurer, décomposer, déchirer et arracher. Pour cela, il utilise quantité de magazines, journaux, flyers et affiches, qu’il colle, décolle et recolle. Depuis 2006 et parallèlement à l’art scotch, une envie d’afficher sur les murs des villes le pousse à dessiner une série de 20 silhouettes qu’il habille de collages d’anciennes revues des années 20 à aujourd’hui et de peinture. Cette forme d’art urbain ou « street art » est devenue depuis une manière de marquer de son empreinte les rues, les villes et les pays qu’il traverse. Ses personnages se fondent dans la jungle des affichages sauvages. Les supports et la manière dont ses personnages sont positionnés revêtent la même importance. Il ne néglige ni le fond, ni la forme, ni l’ensemble et surtout pas le détail, car il aime avant tout ce qui est dissimulé et ne se dévoile pas au premier regard."



http://www.fkdl.com/blog/