Les Grigris de Sophie ce sont bien sûr des broches, des colliers et des sacs … mais c’est aussi un blog !

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Mais c’est aussi un blog ! Un blog dans lequel je parle de CEUX et de CE que j’aime …
HHHHHHHHHHHHHHHHHHHH
Vous trouverez ici des artistes, des lieux insolites, des recettes, des films, des expositions, des musiques, des spectacles, des photographies d’amis ….
Tout ce qui rend la vie meilleure, tout ce qui rend ma vie meilleure !

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samedi 28 février 2015

LA BASILIQUE DE WAMBIERZYCE EN POLOGNE

 Si vous aimez les Basiliques baroques et les ex-voto LA BASILIQUE DE WAMBIERZYCE est faite pour vous !

" Le sanctuaire de Wambierzyce  qui abrite des figures miraculeuses de la Vierge Marie est un lieu de   pèlerinages.
La basilique de Wambierzyce, de style baroque italien, possède un escalier monumental ainsi qu’un riche décor intérieur pictural et sculptural baroque.
Dans le village et sur les collines environnantes se trouvent 130 chapelles du chemin de croix.
Attraction de Wambierzyce : une crèche de Noël mobile en bois comportant 800 figurines."
























LE VILLAGE SUR WIKIPEDIA

UN LIEN A CONSULTER

(cliquer sur les liens)

jeudi 26 février 2015

ANSELME BOIX-VIVES: " L'ECOLE DE LA NATURE" A LA GALERIE MARGARON A PARIS

ANSELME BOIX-VIVES, artiste si cher à mon coeur, exposé à la la Galerie Alain Margaron !
Qu'on se le dise !




" La galerie Alain Margaron présente jusqu' au 28 mars 2015 une cinquantaine d’œuvres inédites et importantes d’Anselme Boix-Vives, représentatives de l’ensemble de sa production : peinture au ripolin, gouaches et dessins.
Cet artiste au parcours atypique, ancien berger catalan espagnol, solidement implanté en Haute Savoie à partir de 1918, est l’auteur de plus de deux mille œuvres, profondément originales et toutes répertoriées dans un volumineux catalogue raisonné.
L’histoire de la vie d’Anselme Boix-vives montre un homme généreux, imaginatif, plein de bon sens, intelligent à la façon de ceux qui n’ont pas suivi de scolarité, avec le souci permanent d’apprendre ce qui peut lui être utile, assez rusé, habile et efficace, ouvert au monde, autant de qualité qui lui ont permis de réussir dans ses activités commerciales, d’investir avec beaucoup de clairvoyance, ou d’accompagner un de ses fils, Laurent, dans la reprise  des Skis Rossignol, comme elles lui ont permis de réaliser très vite des œuvres qui ne vieillissent pas.
Il a commencé à peindre en 1962, à l’âge de la retraite. La reconnaissance  a été immédiate. Dès 1964, il expose à la galerie Denise Breteau, à Paris, est remarqué par le grand curateur international, Harald Szemann et par le poète et pape du surréalisme André Breton : le premier lui organise une rétrospective à la Kunsthalle de Berne en Suisse, le second, sensible à la vitalité de son oeuvre, reproduit l’une de ses gouaches pour la couverture de sa revue, La Brêche.
D’emblée, dans sa peinture, comme dans son existence antérieure, il a su aller à l’essentiel, exprimer la beauté de la vie sous toutes ses formes : végétale, animale, humaine, architecturale, dans ce qu’elle a de joyeux, d’animé, mais aussi dans ce qu’elle a d’inquiétant. Dans certaines de ses peintures ou dessins, la mort rôde. Il a  transposé, sur le mode poétique du conte de fée, tout ce qu’il avait vu, imaginé, aimé ou craint, puisant dans la source inépuisable  de sa prodigieuse mémoire.
Ses plantes croissent, ses oiseaux frémissent, s’envolent, ses églises imprègnent et structurent le paysage. Comme dans les fables, animaux et humains se confondent. Aucune ressemblance précise avec des modèles et pourtant des personnalités, des caractères, ceux qu’il croisait ou regardait à la télévision,  sont saisis avec clairvoyance.
Son intelligence et sa compréhension de la peinture lui ont donné le recul nécessaire pour faire évoluer son style (brut au début, plus sophistiqué ensuite) et couvrir des registres assez divers, des abstractions inspirées des feuillages aux aplats qui le rapprochent d’avantage de l’art aborigène, sans compter quelques œuvres plus expressionnistes, entre Ensor et les néo-fauves allemands des années 1980. Dessinateur, il a d’abord joué de sa maladresse, avant d’affirmer son trait sans rien perdre du « vivant » de ses sujets.
Son œuvre imprégnée de l’art des chapelles, romanes et baroques  des deux régions où il a vécu, proche par certains aspects de l’art vaudou, s’inscrit également dans le XXéme siècle. Elle évoque parfois la musique de Messiaen et même certains peintres américains de son époque. Boix-Vives révèle un sens inné de la peinture, une force intérieure qui garantit l’originalité et une grande capacité à se renouveler."



Parmi les oeuvres d’Anselme Boix-Vives à la galerie Alain Margaron
Anselme Boix-Vives avait une extraordinaire faculté d’imagination,  mais bien ancrée dans le réel. Dès qu’il s’était mis à peindre, en 1962, à l’âge de 63 ans, il l’avait fait avec force, originalité et efficacité, en puisant dans l’inconscient collectif des formes proches de l’art aborigène et en retrouvant, dans sa propre mémoire, les traces de notre culture occidentale.








Biographie

Cinquième d’une famille de neuf enfants, Anselme Boix-Vives est né le 3 janvier 1899, près de Morella, province de Castellon de la Plana, Espagne.
Enfant, il ne fréquente aucune école, n’apprend ni à lire ni à écrire. Avec ses frères, il garde les moutons avant d’émigrer en France à l’âge de 18 ans, où la vie offrait de meilleures chances.
Arrivé en Savoie en décembre 1917, il est employé aux aciéries d’Ugine et à la même époque débute dans le commerce des fruits et légumes au moyen d’une voiture à bras. Il devient vite son propre patron et s’installe dans un premier temps à Brides-les-Bains, puis à Moûtiers en 1928, où il ouvre un magasin de primeurs qui lui permettra de connaître une relative prospérité.
En marge de son travail, ses pensées d’humaniste bienfaiteur, son rejet des armes et de la guerre et enfin l’horreur éprouvée en 1926 en Avignon face au défilé de soldats mutilés, le conduisent à imaginer un monde idéal, où notre planète serait un éden pour tous. Son premier manifeste paru en 1955, Union mondiale, le seul moyen de sauver la civilisation, annonce déjà ses visions paradisiaques.
À  la veille de sa retraite, à l’invitation de son fils Michel, Boix-Vives entre en peinture, libérant d’un seul coup le réservoir de son imaginaire et surtout de tout ce qu’il a pu observer sa vie durant, en particulier les paysages, les fleurs, les chapelles. Pendant sept ans, jusqu’à sa mort, sa création sera intense.
Michel, en relation avec le milieu artistique, fait circuler les œuvres de son père à Paris.
En 1963, Anselme Boix-Vives reçoit une lettre d’André Breton qui manifeste le plus vif intérêt pour ses gouaches.
En 1964, la gouache acquise par André Breton, « Mode à Paris », fait la une de couverture de son journal « La Brèche, Action Surréaliste ».
En mars 1964, Anselme Boix-Vives expose pour la première fois à Paris à la Galerie Denise Breteau (qui le montrera également l’année suivante); deux mois plus tard, il est présenté à la Kunsthalle de Berne et il termine l’année à la Galerie Charpentier dans le groupe des Primitifs d’aujourd’hui.
À partir d’avril 1965, Anselme Boix-Vives utilise le Ripolin, qu’il découvre grâce à la marchande de couleurs de Moûtiers qui lui avait fait cadeau d’une série de pots invendus. En 1966, il est exposé à la galerie Alice Pauli à Lausanne, à la Lefebre Gallery à New York ; en 1967 à la galerie Schloss Remseck à Stuuttgart en Allemagne et en 1968 au Musée- Château d’Annecy.
Anselme Boix-Vives meurt le 24 août 1969 à Grenoble.

 Il est représenté par la galerie Alain Margaron depuis 1993.



(Les textes présentés et les photos appartiennent à la Galerie Margaron)

A l’occasion de cette exposition, la galerie édite un livre où sont reproduites les œuvres présentées (Alain Margaron Editeur)

« Sous la dictée de l’ange », le nouveau livre d’Anselme Boix-Vives



LE SITE DE LA GALERIE 


ANSELME BOIX-VIVES ET JEANINE RIVAIS

(cliquer sur le lien)

5, rue du Perche - 75003 Paris
du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14h30 à 19h30
01 42 74 20 52

Jusqu' au 28 mars 2015 !

Merci Aliette pour cette annonce magnifique !

Pour Michel qui aime tant cet artiste, pour Antoine, pour  Christine et 
pour Bernard et Jean-Paul ....




mercredi 25 février 2015

OU MANGER A LODZ ? CHEZ ANATEWKA

Le guide du Routard indiquait " L'atmosphère de salle à manger d'un foyer juif bourgeois est si bien restituée
ici qu'on a qu'un souhait : pourvu que la cuisine soit à la hauteur ! "
Et la cuisine est à la hauteur !
Le service est très chaleureux  et les salles si jolies qu'on mange avec bonheur un repas raffiné  au milieu des talith (chales de prières), photos, gravures, bibelots, personnages en bois sculpté sur des tables aux nappes crochetées ...

BREF UNE EXCELLENTE ADRESSE !














6 Sierpnia 2/4, Lodz 90-422, Pologne
 
 
 LE SITE DU RESTAURANT
 
 (cliquer sir le lien)